Traditionnellement, ou presque, le coup d’envoi du Trophée Andros a été donné à Val Thorens.
La nouvelle date de quelques semaines, mais elle a de quoi faire plaisir au passionnés de course sur glace. Présent depuis quelques saisons avec son écurie, Yvan Muller (image de Une avec Yann Ehrlacher) revient cette année au volant. Pour mémoire, l’Alsacien a remporté le Trophée à dix reprises et est de fait le plus titré des pilotes «givrés». Au regard de ce premier week-end de courses, il semble ne rien avoir perdu de ses qualités en matière de glisse. Mais revenons rapidement sur cette première fin de semaine à Val Thorens.
Pour mémoire, le Trophée Andros est totalement disputé avec des voitures électriques depuis 2020. Samedi, en ouverture, c’est Dorian Boccolacci sur une voiture de chez Sébastien Loeb Racing qui mettait tout le monde d’accord dès les qualifications. Nathanaël Berthon (Peugeot) et Jean Baptiste Dubourg (Renault), champion en titre, montaient sur le podium. Yvan Muller était cinquième.
Dimanche, le scénario était légèrement différent. Troisième du Trophée l’an dernier, Aurélien Panis (Audi) se rappelait au bon souvenir de ses petits camarades. Il remportait les qualifications et le classement général de la journée. Et ce devant une vieille connaissance en personne d’Yvan Muller. C’est Jimmy Clairet (Peugeot) qui complétait le podium. Au général après deux épreuves, Aurélien Panis est en tête devant Nathanaël Berthon et Yvan Muller.
Chez les élites, ou si vous préférez amateurs, Julien Febreau (Renault) a remporté la première journée, imité par Sylvain Pussier (Peugeot) en seconde instance. C’est ce dernier qui mène le général devant Eddy Benezet et Emmanuel Moinel.
Rappelons rapidement que le calendrier comporte six épreuves le prochain rendez-vous étant fixé en Andorre les 16 et 17 décembre. En 2023, le Trophée passera par Isola, Tigne, Lans-en-Vercors et Super Besse.
Crédit images: site Andros (Bruno Bade, Grégoire Sigaud)