Voiture de l’année la Toyota Yaris se veut encore plus séduisante en finition ‘pop’.
En plus d’être comme ses congénères «voiture de l’année», la Toyota Yaris en version ‘pop’ possède quelques arguments supplémentaires… En comparaison à la version d’entrée de gamme, elle est hybride et a des atours esthétiques, rétroviseurs de couleur, jantes spéciales, et autres qui lui confèrent un petit air distingué du meilleur effet. «Elle est très sympa ta petite voiture», nous disait un voisin. Et nous n’avons eu aucune peine à confirmer que non seulement elle avait de la «gueule», mais qu’elle était aussi très agréable à rouler.
Mais avant de prendre la route faisons un peu d’histoire. La Yaris a fait son apparition dans son pays d’origine en 1999… Elle est produite en France depuis 2001 et a été des années durant la voiture la plus produite chez nos voisins. Aujourd’hui, la famille Yaris compte quatre générations dont deux, la première et la dernière ont coiffé la couronne de «voiture de l’année».
Mais revenons à l’objet de notre test. Comme déjà évoqué, Toyota a mis à notre disposition une version ‘pop’ de sa Yaris. Le moteur est un trois cylindres hybride, au bruit caractéristique, avec une cylindrée de 1.5 litre et une puissance de cent chevaux. La boîte était de type «hybrid synergy drive», ou automatique si vous préférez. Avec quelques options, système de navigation, toit panoramique, affichage tête haute, sièges sports, etc. Le prix encore correct passait à 29’000 francs au lieu des 17’900 francs de la version de base… Mais en l’occurrence et comme le veut le dicton «comparaison n’est pas raison». Cette finition ‘pop’ donne un charme particulier à cette citadine déjà fort agréable. Et avoir cent chevaux sous le pied plutôt que les 72 des l’entrée de gamme n’est pas négligeable.
Bien qu’elle soit du genre ‘petit’ la Yaris offre un confort digne d’une grande… Nous avons beaucoup apprécié les assises ‘sport’ et l’agencement très stylé de la planche de bord. Évidemment les places arrières ne sont pas très étendues, mais tout de même suffisantes pour que quatre personnes puissent voyager sans inquiétudes… D’autant plus que le comportement routier de ‘notre’ Yaris nous a parfaitement convaincu. Sur rectilignes comme sur portions sinueuses la ‘petite’ assure. Bien posée sur un train roulant très efficace, la Yaris se faufile de courbe en courbe sans renâcler et avale les kilomètres sans jamais donner l’impression d’être en peine. Un pur bonheur!
De plus, elle n’est pas d’une gourmandise excessive. Lors des quelque 450 bornes de notre test en conditions familiales, ‘notre’ Yaris s’est contentée de quatre litres d’essence par tranche de cent. C’est bien. Et même si nous l’avons déjà abordé plus avant parlons rapidement tarif. Sur le site suisse de la marque la fourchette s’ouvre à 16’900 francs (1.0 litre / boîte manuelle 5)… Elle passe à 20’100 francs avec le bloc 1.5 essence et à 21’500 francs en hybride… Sans oublier la version sportive «GR», 1.6 turbo, quatre roues motrices, à 37’900 francs.