Quatre modèles ont récoltés des lauriers dans leur catégorie respective, VW Tiguan, Skoda Octavia et Porsche Panamera sont aussi de la partie.
Sur la route peut-être encore plus qu’ailleurs, le temps passe à la vitesse grand ‘V’. Et l’élection de la «Voiture suisse de l’année» n’échappe pas au principe. Récente, dans les esprits du moins, cette manifestation organisée sous l’égide de nos collègues de la «Schweizer Illustrierte» s’est tenue tout dernièrement pour la 6ème fois déjà. Pour l’occasion, quarante nouveaux modèles étaient passés au crible par un jury de personnalités et de journalistes. En fait, trois jurys pour couvrir les trois catégories, à savoir «Voiture de l’année», «Voiture la plus élégante» et «Voiture la plus verte».
Dans la division principale, celle du modèle phare millésime 2017, Renault a décroché la timbale avec sa nouvelle Megane. Même si elle n’a obtenu la note maximale de 10 chez aucun des jurés, la compacte au losange a séduit avec ses motorisations, son système quatre roues directrice et sa connectivité. La Classe E de Mercedes et la IONIQ de Hyundai complètent le podium.

Au chapitre élégance, c’est Porsche et sa Panamera qui se sont imposés… Esthétique, quoi de plus logique, mais aussi qualité de l’intérieur et système d’info-divertissement (?) ont fait la différence. Maserati avec la Levrante et Honda avec la NSX complètent le tiercé.

En matière de ‘verdure’ ou de propreté voire de critères écologique si vous préférez, Skoda s’est imposé avec l‘Octavia G-Tec. Dotée de la nouvelle boîte à double-embrayage, du moteur 1.4 et d’un réservoir de gaz naturel, l’Octavia n’a laissé que les deux petites marches du podium à la Hyundai IONIQ et à la Toyota Prius.

Reste la 4ème catégorie, peut-être la plus représentative puisque tenant compte de l’avis d’un large public… Quelque 60’000 personnes ont participé au vote organisé auprès des lecteurs des médias concernés et sur la toile. «And the winner is…» VW Tiguan qui devance de justesse le tout nouveau Skoda Kodiaq. L’Alfa Romeo Giulia devant se contenter de la troisième place.
