Une montre qui affiche l’heure à l’aide d’un liquide, quelque peu farfelue il y a quelques années, l’idée trace sa route.
Chez HYT les gens parlent de fluide, de pistons, de capillaires, et autre termes techniques… Le passionné de voiture se sent comme chez son garagiste, ou presque. Soyons sérieux! L’idée de marquer le temps qui passe avec un liquide de couleur s’écoulant, ou plutôt ne s’écoulant pas dans un petit tube transparent a fait, et fait encore, le ‘buzz’. La différence avec le début de cette décennie et l’entrée en scène de l’entreprise, relève du fait qu’aujourd’hui HYT est véritablement pris au sérieux.
Côté ambassadeurs et passionnés de cette marque horlogère pas tout à fait comme les autres, le pilote français Jean-Eric Vergne. Mais aussi, son collègue, l’Australien Peter Hackett, «c’était l’un de nos tout premiers clients», lance Cloé Biessy directrice de la communication HYT. Ou encore le jeune chinois Peter Li Zhi Cong qui fait ses armes en Formule 3.
H1, puis H2 sont les étapes franchies, mais pas seulement… Les pièces changent d’allure, les pistons ne sont plus obligatoirement alignés à la verticale. Dans certaines exécutions ils sont en V, comme les cylindres de quelques voitures. Et puis, les finitions aussi changent, à l’image de cette pièce réalisée en partenariat avec Aprp (Audemars-Piguet (Renaud Papi) SA), la H2 Tradition.
L’an dernier, HYT annonçait sa ‘liaison’ avec Jean-Eric Vergne… «Il roule en Formule électrique, nous avons une notion ‘hybride’ commune», sourit Cloé Biessy. Elle ajoute: «Jean-Eric est en relation avec une agence neuchâteloise que nous connaissons également, le contact s’est fait assez facilement.» Et dans les petits secrets, mais sans totale certitude, il semblerait que le Français porte une H2 traditionnelle alors que l’Australien aime à montrer sa H1 ‘skull’ à tête de mort. – www.hytwatches.com